Je me suis souvenue très clairement de ton numéro,
à l’instant, presque mot à mot,
le cœur déborde, s’inquiète,
je sens que je suis tombée fatalement amoureuse
De toi. Tu es étrange avec tes pommettes saillantes
Et tu crois en toi follement
Tu es – loup, je suis – loup, nous sommes
Ensevelis du sang de nos larmes.
O, si seulement, tu étais réel
Je serai devenue ton amie,
Je t’aurai murmurée tendrement des nuits entières:
« Yugo, mon Yugo, Yugo »
Mais, voila - De part le monde, je cours de plus en plus,
Je me noie de mon secret,
Me jettant à la rencontre, abandonnant les autres
Et j’écoute le chant du vent.
Après nous restions épaule contre épaule
Après nous volions main dans la main
Après nous nous endormions nous poursuivant l’un, l’autre
Et à nouveau volions et dans les rêves, nous tombions, aï.
C’est tellement étrange que je ne sois pas jalouse de toi,
Qu’il y ai pu avoir quelqu’un avant, me surprend
nous courions de par les bois, solitaires – nous sommes
des animaux, des animaux amoureux.
O, si seulement tu étais réel,
Je serai devenue ton amie
je t’aurai murmurée tendrement des nuits:
« Yugo, mon Yugo, Yugo »
Mais, voila - je cours de plus en plus de part le monde,
Je me noie de mon secret,
me jettant à la rencontre, abandonnant les autres
Et j’écoute le chant
O, ci seulement tu étais réel,
Je serai devenue ton amie,
je t’aurai murmurée tendrement des nuis entières
« Yugo, Yugo, Yugo, Yugo, Yugo, Yugo… »
Mais, voila - De plus en plus, de part le monde,
Je me noie de mon secret,
Me jettant à la rencontre, abandonnant les autres
Et j’écoute le chant, le chant, le chant,
le chant, le chant, le chant du vent.
le chant du vent,
j’écoute le chant du vent.
Je me suis souvenue très clairement de ton numéro
A l’instant, presque mot à mot,
Le cœur déborde, s’inquiète,
je sens que je suis tombée fatalement amoureuse ...
Traduction: Sarah P. Struve